Parasitose en forte recrudescence.: les champions de l’opacité tarifaire s’insurgent contre l’arrêté relatif à l’affichage des prix
epuis le 1er avril 2017, les professionnels louvoyant dans le secteur du bâtiment (“dépanneurs-réparateurs” à domicile, filous à la petite semaine, agents immobiliers et autres champions de l’opacité tarifaire…) sont assujettis aux dispositions de l’arrêté du 10 janvier 2017 découlant de la loi ALUR.; tout ce beau monde ayant désormais l’obligation d’afficher les prix/honoraires applicables à leurs prestations.
Sauf que, se cramponnant à son pré carré fangeux, propice aux embuscades les moins subtiles, il était prévisible que la lie des mercantis de l’immobilier s’offusque d’un dispositif législatif bénéfique au consommateur.—.trahissant de facto la DÉPENDANCE ÉCONOMIQUE de telles gens AUX MANOEUVRES OPAQUES ET TROMPEUSES.!
L’appât du lucre primant ainsi leurs rivalités ordinaires, c’est en narguant l’opinion publique que les larrons de la FNAIM, du SNPI et de l’UNIS ont finalement déposé un recours en annulation devant le Conseil d’État... Pareille démonstration d’arrogance et de duplicité retentissant comme une incitation à boycotter à jamais cette faune toxique.

‣ Éradiquer les parasites, c’est simple comme une bonne rasade de gaz…